Présentation de FERME DE LA BOUFFERIE / elevages
LIEU DIT la BOUFFERIE 87110 - Le Vigen
Travail ✆ Non communiqué
Boutique en ligne: (non précisé) Fax:
Site web:
Liens directs vers les menus du site internet:
Horaires d'ouverture:
Les horaires d'ouverture ne sont pas encore indiqués
Géolocalisation GPS: Coordonnées GPS (1): LATITUDE: 45. 72786 LONGITUDE: 1. 30432
Inscrit dans les catégories:
Ville: elevage à Le Vigen
Département: elevage
France (www): Annuaire elevages Désignation NAF:
Ma page Conseil:
Activité *:
L'établissement FERME DE LA BOUFFERIE a pour activité: Exploitant agricole, Élevage d'ovins et de caprins, 0145Z, crée le 1 nov. 2017, siège principal. Complément société / établissement *:
Nom de l'entreprise / établissement: BAUDENS JEAN BENOIT MICHEL YVES Établemment principal: Oui Enseigne: FERME DE LA BOUFFERIE Date de création: 1 novembre 2017 Date de début d'activité: 1 novembre 2017 APE: 0145Z Secteur d'activité: Élevage d'ovins et de caprins Civilité du déclarant: 1 Type: Exploitant agricole Nature de l'activité: Non renseigné Numéro de SIREN: 832433379 Numéro de SIRET: 83243337900019 NIC: 00019 Effectif nombre de salarié(s) Année 2017: 0 salarié Surface d'exploitation: Non indiqué
Cette Fiche est la vôtre?
Ferme De La Boufferie Canada
1 entreprise est domiciliée FERME DE LA BOUFFERIE à LE VIGEN. Il existe 1 adresse hébergeant une société dans cette rue. Voir l'adresse
Pour étendre votre recherche à toute cette ville, consultez notre liste d'entreprises à LE VIGEN. 1 entreprise est située FERME DE LA BOUFFERIE à LE VIGEN. Entreprises /
87110 LE VIGEN /
FERME DE LA BOUFFERIE
L'adresse FERME DE LA BOUFFERIE 87110 LE VIGEN
©2022 SOCIETE SAS - Reproduction interdite - Sources privées, INPI, INSEE, Service privé distinct du RNCS - Déclaration CNIL n° 2073544 v 0
Ferme De La Boufferie 2
Dans la charte du WWOOFing, on part sur 4 heures de coup de main par jour. Après, chacun a le choix d'arrêter quand il en a envie. Mais je sais qu'il y a parfois quelques dérives, notamment dans des pays à forte pression touristique comme la Malaisie ou la Thaïlande, où des WWOOFers ont dû payer leur séjour et fournir un travail. À la ferme, si cela ne fonctionne pas, on met fin à la découverte d'un commun accord. »
Leur présence me redonne un cadre Ici, l'échange va vraiment dans les deux sens. « Comme pas mal de paysans, face à la charge de travail, je n'ai pas trop le temps de m'immerger dans une vie sociale chargée, regrette Charles. Quand je suis tout seul, j'ai un rythme de vie qui n'est pas le même que quand j'accueille des WWOOFers. C'est plus " speed ". Leur présence m'oblige à me poser, à respecter les heures de repas. D'une certaine manière ça me fait du bien car ça me redonne un cadre. » Toutefois, ne lui demandez pas de vous faire découvrir le patrimoine touristique de la région.
Je me suis dit que c'était un bon moyen de découvrir la campagne française et comment vivent les gens ici. C'est bien agréable mais ça demande autant de flexibilité de notre part que de patience de la part du propriétaire. »
Même s'il n'y a pas ici de barrière de la langue, la cohabitation nécessite parfois quelques ajustements d'ordre sémantique, qui donnent lieu parfois à de franches rigolades. Charles, l'hôte, a été quelque peu surpris d'apprendre qu'une « pine » désigne un morceau de métal qui sert à atteler la remorque, en joual (en québécois). Cela fait trois ans que ce jeune exploitant accueille des WWOOFers dans sa ferme qui compte une bergerie, une fromagerie et un troupeau de 50 brebis laitières en agriculture biologique. Ses produits sont commercialisés en vente directe via les magasins coopératifs, les épiceries associatives, les amap, ou sur les marchés. Faire preuve d'ouverture
« J'ai tendance à accepter plutôt des profils de gens qui ont l'intention de rester une quinzaine de jours car on est sur des travaux assez rythmés, explique Charles.